de Bong Joon-Hoavec Song Kang-Ho, Sun-kyun Lee, So-Dam Park, Woo-sik Choi, Yeo-Jeong Jo
Genre : Drame
Nationalité : Corée du sud
Année de sortie : 2019
Durée : 02h12
Version : Couleur
Après Okja, réalisé pour Netflix, le réalisateur des magistraux Mother, The Host, Memories of Murder et Snowpiercer, le transperceneige, est enfin de retour au cinéma. Habitué des univers forts, cruels, souvent drôles et parfois spectaculaires, il a la particularité d’aborder de vrais sujets de société en mélangeant les genres et en restant suffisamment grand public. Il fait ici se confronter deux familles socialement très différentes : les Ki-Taek où tout le monde est au chômage et survit dans un sous-sol miteux et les Park où l’on vit dans le luxe et l’opulence. Mais ces deux mondes que tout oppose vont bientôt se mélanger… pour le plus grand plaisir du spectateur.
Palme d’or au Festival de Cannes 2019, Parasite est une immense réussite qui réussit un cocktail surprenant mêlant comédie grinçante où l’on rit énormément et fable politique riche en rebondissements au final époustouflant. Un film « populaire, riche et foisonnant » (comme l’écrit Télérama) à ne pas manquer !!!
Studio Express 
Parasite est un film réalisé par Bong Joon Ho en Corée du Sud et a reçu la Palme d’or au festival de Cannes 2019. Ce film met en avant deux familles très différentes l’une de l’autre. Une famille pauvre qui vit dans un entre-sol et où tout le monde est au chômage et l’autre, très riche, habituée à vivre dans le luxe. Le réalisateur a voulu montrer la différence sociale, certaines personnes qui ont beaucoup d’argent sont parfois égoïstes et Bong Joon Ho s’en moque et fait en sorte que ces personnages riches nous fassent rire par leur façon d’être qui est parfois très étonnante pour des personnes qui ne viennent pas de la même classe sociale qu’eux, il les fait agir de façon stupide.
Malgré cela, je n’ai pas vraiment apprécié ce film car j’ai trouvé l’histoire globale un peu étrange et parfois ennuyeuse… J’ai trouvé que les évènements n’étaient parfois pas logiques une fois assemblés et que cela donnait une forme irréelle et impossible au scénario.
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Parasite, film coréen de Bong Joon-Ho, raconte l’histoire de la rencontre de deux familles : les Ki-taek, famille modeste et au chômage, et les Park, famille riche et aux enfants prometteurs. Les premiers vont s’immiscer peu à peu dans la vie des seconds, faisant en sorte d’être embauchés comme professeurs particuliers, chauffeurs ou gouvernante, jusqu’à dépendre entièrement de ces derniers, devenant ainsi leur « parasite ». Le film, lauréat de la Palme d’Or au festival de Cannes 2019, offre un scénario complexe qui entrelace comédie et tragédie, ainsi qu’une perspective édifiante sur la vie de famille. L’image est travaillée, et on peut avoir l’impression d’assister à un huis-clos dans la maison des Park où le drame paraît condamné à se produire. Le réalisateur coréen illustre la confrontation de deux sociétés par le microcosme de la famille, et livre un récit poignant qui m’a énormément plu.
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